J’suis désolé de mettre terme au projet de bouche à bouche, et ce, essentiellement pour Kenny qui aimait bien le projet et à qui on délaisse tout, et pour Hugo que j’ai "tchoqué" pour faire le mixage vidéo du party.
Mais pendant qu’on est dans le thème « ce que l’on aime », il y a une chose que j'aime pas, et que je me donne comme objectif d’éliminer, et c’est d’être désolée.
C’est de me sentir mal.
Je crois que ça justifie bien mon avortement face à ce projet.
Je me suis d’abord sentit mal parce que je ne savais pas trop quel direction nous devions prendre dans ce cours, n’ayant jamais vécu l’expérience du cour de nouveaux-média. Par la suite, je me suis embarquée, peut-être un peu comme tout le monde, dans la seul obtique qu’on nous a proposé pour mettre fin à se plannage un peu malaisant, soit de réalisé une œuvre pour le party. Comme plusieurs ont dut le présiser, je crois qu'on à tous acquièssés à ce projet par manque de "lead" et par confusion, et que finalement Hugo est devenue quelque peu le "lead" de tout le monde, ce qui n'était totalement pas le but du cours. En fait, il faut plutôt apprendre à être notre "lead" à nous même et s'affrimer dans ce qu'on aime, ce qu'on veut réaliser, ne pas avoir aucune crainte face à nos désirs.
Le fait d'avoir un lead extérieurs et des contraintes nous empêche justement, inconsiamment peut-être, de pouvoir se trouver nous-même à travers nos désirs. Finalement, je crois que certain pouront trouver un certain confort à suivre une idée préconsue, et que ce n'est pas l'objectif du cour. L'objectif serait plutôt de se lancer individuellement dans une organisation collective...
Donc pour reprendre où j'en était, c'est à ce moment là que le party est venus s'incrusté comme seul option possible ( En fait, c'était faux, mais c'est ce qu'on a tous cru au départ, déroutés).
Au départ ça m'a inspiré plein de chose. J’avais envis de réalisé quelque chose de gros, quelque chose qui imposerait l'art aux gens, à ce qu’on fait, qui les ferait réagir, et idéalement qui les perturberais ou à la limite les choqueraient. Enfin, changer quelque chose en eux et non simplement présenter des œuvres comme les madames au IGA présentent leurs nouveaux produits et que tout le monde s’en criss, mais qui viennent quand même prendre leurs bouts de viandes assaisonnées pour pas les faire chier parce qu’elles ont l’air si désemparé. Bref, je voyais un décors immence qui plonge le monde dans un univers tout différent que des partys habituelles, des projections de vidéo artistique qu'on aurait réalisé, etc... J'ai pas eu le temps de pensé très concrètement aux idées à exploiter, parce que CA est arrivé.

Ca, c'est la suite des choses, c'est la dégradations de la liberté qu'on avait, c'est la prise de concience des contraintes. D'abord le temps, qui soustraillait beaucoup nos idées d'envergures et nous réduisais à faire de petit projet un peu plsu insignifiant à comprarer à l'attente personnel de plusieur, soit Des pancartes ou des vidéo, puis il y a eu les contraintes de l'ASSO véhiculé par Hugo qui nous ramenait à se contenir à l'intérieur des mots "bouche à bouche" et à respecter les règles de bonne conduite ( ne pas intervenir s'il y a des chances de brisé le plaisir des gens). Certains se sont totalement adhéré au projet, et tant mieu! La révolte n'était pas contre eux et n'avais pas pour but de rompre tout le monde avec le projet. C'était peut-être simplement d'éclaircir notre prise de position.

Je sais vraiment pu où je voulais en venir... et je vais y aller avant de manquer ma bus mais je finit ca en arrivant chez nous